jeudi 24 décembre 2009

حياة ونشأة الشيخ المربي والمجاهد مولاي أحمد او لحسن

حياة ونشأة الشيخ المربي والمجاهد مولاي أحمد او لحسن
بقلم محمد البرمكي

المجاهد مولاي أحمد أو لحسن الشريف بصفته من حفدة سيدي امحمد السبع صاحب القبرين ثم عمرو الشريف دفين الإدريسية بفاس العالمة على مقربة من ضريح سيدي يوجيدة اليازغي إلى الأمير عبد الله بن إدريس الثاني بن إدريس الأول بن عبد الله الكامل بن الحسن المثنى بن الحسن السبط بن علي و فطمة الزهراء بنت الرسول سيدنا ونبينا محمد عليه الصلاة والسلام. ويرجع الفضل في التعريف بالشجرة السغروشنية الفقيه الأجل سيدي محمد الصغير بن الولي الصالح سيدي بوطيب دفين ميسور ومولاي أحمد أو لحسن صاحب كتاب الدرر السنية في أصل السلالة العمرانية السغروشنية والسباعية من مواليد مدينة صفرو سنة 1241 هجرية الموافق لسنة 1826م. كان مجاهدا بالقلم قبل أن يكون مجاهدا بالسلاح تردد هذا اليتيم من أبيه على جامعة القرويين فكانت طريقته الصوفية ومحطته الأولى بالزاوية التيجانية. والتزم بصفة نهائية مع الطريقة الدرقاوية حتى وفاته نظرا لقناعته بالروح الجهادية التي تتميز بها الدرقاوية وكان سنيا على مذهب سادتنا المالكية . ترك ابنا احدا هو سيدي محمد العالم الذي قاوم هو كذلك جنبا إلى جنب مع المجاهد سيدي رحو السغروشني وخلف بدوره أولادا يعرفون بآيت الشيخ أو أيت سيدي الشيخ للتعظيم والتقدير والاحترام. كان مولاي أحمد أو لحسن يقاتل ويختفي على طريقة عمر المختار وكان عمره يتجاوز بعين وهذا أمر مذهل توفي بدار امجلعن على بعد 65 كيلومتر من مدينة بولمان ببرج أيت أحمد اوسلمان حيث ريحه، كان رحمه الله لا يركب ان وإنما كان يركب بغلة لتمويه المستعمر ولم تتمكن المخابرات العسكرية القبض عليه أبدا وهذا كذلك أمر ذهل. سجل لنا التاريخ انتصاره ظيم سنة 1907 ببدونيب ووصفه الضابط فوانو بالشيخ الثائر.تشبع بالطريقة الدرقاوية وهي التي التزمه المجاهد والشريف الأمير عبد القادر الجائري والسلطان عبد الحميد العثماني بتركيا. معاهدته مع قبائل مرموشة وأهل اتسيوانت معاهدة ذات أهمية بالغة حررت بزاوية تيشوكت المباركة. كانت الزاوية تعتبر هي الحزب فكانت لها رسالة في التأطير والتوعية وتطعيم المجتمع بالأئمة والعلماء ونشر الدين وتأطير اهدين عند الاقتضاء. المعاهدة تضم 44 ضامنا منهم 38 منتمون لقبائل مرموشة و 6 من أهل اتسيوانت ويتضح لقارئ المعاهدة أن الشيخ الكبير مولاي أحمد او لحسن كان يهدف إلى تقوية الصفوف بين القبائل والتنسيق بينها حتى لا تستعملها فرنسا لضرب بعضها ببعض. اعترف بفضل مولاي أحمد او لحسن المجاهد والبطل الحاج ميمون او عقة إلياس المرموشي خلال زيارة خاصة له بمنزله وجاء ذكر مولاي أحمد او لحسن في كثير من محاضرات وعروض الأساتذة الباحثين على سبيل الذكر لا الحصر الدكتور عبد الحميد حساين بكلية المحمدية والدكتور محمد الفلاح العلوي بكلية الدار البيضاء والدكتور محمد البكراوي والدكتور محمد بن الحسن بكلية بني ملال وخصص له الكتاب والمؤرخون أبوابا أشادوا بالمواقف النظالية للشريف والشيخ المسن في كتاب الكفاح المسلح لمولاي هاشم والمعزوزي وكتاب مظاهر يقظة المغرب الحديث لمحمد المنوني وكتاب مدينة إفران لعيسى العربي وخصص له الشاعر سيدي الحسن بن عزيز بوشو قصيدة جميلة في نضال وجهاد الشيخ مولاي أحمد أو لحسن في ديوانه الشعري الصادر تحت عنوان نسام وعواصف
ترك الشيخ والمربي والمجاهد عدة مؤلفات جلها في الكتابات الصوفية قام بجرد دقيق لها الأستاذ محمد المنوني,
بقلم محمد البرمكي
مستشار مكلف بالدراسات والبحث برابطة الشرفاء
بجهة فاس بولمان

mercredi 23 décembre 2009

DOUIRET SBAA : دويرة السبع

Visite de SM le Roi Mohamed VI que Dieu l'assiste à Béni Tadjit le Mardi 22 Décembre 2009


Le 27 (Avril, 1907) le gros (des troupes militaires) poursuit son avance. Il campe à Korima le 1er Mai. Trois jours plus tard, il marche sur Douiret es-sbaâ, dont on se rend maître après une heure de combat. A quelques jours de là, on apprend que la « Harka » s'est reformée à « Boudenib». Moulay Ahmed Ou Lahcen Sbai est un des principaux instigateurs du mouvement anti-Fraçais... « Sur les traces glorieuses des pacificateurs du Maroc (Préface du général NOGUES) - ed. CHARLES-LAVAUZELLE, Cle Editeurs 193 (p.58)
Douiret SBAA (AIT SBAA LAKDIMA) est un village situé au sud est du Maroc à environ 30 km du centre de Béni Tadjit.

Douiret SBAA est le lieu ayant habrité la zawiya de Moulay Ahmed Ben Mohamed Ben Lhassan SBAI qui a été détruite par les Forces d'occupation Françaises.


Village de Douiret SBAA










 
Photos de la Zawiya de Moulay
Ahmed Ben Mohamed ben lhassan SBAI sise à Douiret SBAA LAKDIMA et qui a été détruite par les français






Mausolée de SIDI MHAMED SBAA Grand ancêtre de Moulay Ahmed Ben Mohamed Ben Lhassan SBAI et des AIT SBAA en général, en arrière plan on voit la Zawiya de Moulay Ahmed Ben Mohamed Ben Lhassan SBAI détruite par les forces françaises.









 ( خلوة مولاي أحمد السبعي )



Lieu de prières du Cheikh Moulay Ahmed Ben Mohamed Ben Lhassan SBAI dans sa Zawiya détruite par les français




Vidéo de la Zawia du Cheikh Moulay Ahmed Ben Mohamed Ben Lhassan SBAI sise à Douiret Sbaa et qui a été détruite par les forces d'occupation Françaises :






dimanche 6 décembre 2009

France. Ministère des affaires étrangères

Documents diplomatiques ...
Affaires du Maroc. 1907 1908
France. Ministère des affaires étrangères
http://www.archive.org/stream/documentsdiplom00unkngoog/documentsdiplom00unkngoog_djvu.txtd

...Je crois que, pour affirmer notre victoire, il est indispensable d'aller châtier chez lui Moulay Lhassen Sebai, l'instigateur et le chef de la harka.
"disait le général Vigy"

.....

Le Général Picquart, Ministre de' la Guerre,
à M. le Général Bailloud, commandant le 19* Corps d'armée.
Paris, le 19 avril 1908.
J'approuve les propositions du Général Vigy pour achever la dispersion de la *
harka et châtier Moulay Lhassen,


lire l'article :
r 235.
M. JoNNART, Gouverneur général de l'Algérie,
à M. Stéphen Pichon, Ministre des Affaires étrangères.
Alger, le 19 avril 1908.
Je viens de recevoir du Général Vigy le télégramme suivant :
« A la suite de l'attaque dont a été l'objet, le 1 6 avril, la colonne du Lieutenant-
Colonel Pierron, j*ai estimé que je ne pouvais plus rester sur la défensive. Quatre
colonnes ont quitté leur campement de Moureul, Tanezzera, Bou-Arfa, Hassi-Falet, dans la nuit du 1 8, et se sont concentrées à Mengoub , où elles arriveront simultané- ment ce matin à 7 heures. Dès le 1 7 au soir, le- service dès renseignements avait fait connaître que Mengoub était évacué et. une reconnaissance que j'y avais envoyée dans la journée ne trouvait plus, en effet, sur ce point qu'une petite fraction de la liarka qui disparaissait elle-même après un léger engagement au cours duquel une cinquan-taine de coups de fusils avaient été échai^és sans résultat.

Dès mon arrivée à Mengoub, j'ai envoyé dans la direction de l'Ouest de fortes reconnaissances de cavaderie qui , en dehors de quelques fuyards , ont constaté que toute la région du Zerouj Tamlelt au Nord et d'Aïn-Chaïr était complètement évacuée.

Je me trouve donc actuellement à Mengoub, sur l'emplacement occupé par la
harka > disposant de 2 »5 00 fantassins, 1,000 cavaliers et de deux batteries de 76.

Les troupes du Colonel Pierron sont arrivées avec leur effectif diminué de
1 2 o hommes tués , blessés ou évacués.

Les débris des contingents très variés qui constituent la harka se sont enfuis vers ItJuest et ne sont phis vraisemblablement 1res à craindre ; mais ce qu'il y a lieu de considérer aujourd'hui, ce sont les renforts que je vous ai signalés précédemment,
qui sont levés dans le Tafilelt et le Haut-Guir et (ui devaient suivre Titinéraire Bou- Denib, Bou-Anane, Aïn-Chaïr.

Je crois que, pour affirmer notre victoire, il est indispensable d'aller châtier chez lui Moulay Lhassen Sebai, l'instigateur et le chef de la harka. Cette opération pour- rait être faite rapidement et facilement avec une colonne légère et aurait en mitre
pour résultat certain d'arrêter dans leur marche les renforts annoncés ou , s'ils con- tinuent leur marche, de leur infliger une juste et sévère leçon.

L'itinéraire de ces renforts passe presque forcément par la trouée de montagne

._ 204 —

que commande Bou-Anane; en- tous cas, quon surveille la région aussi bien du Haut-Guir que de l'oued Haïbery il sera probablement nécessaire d'y séjourner quel- que temps, en attendant que nous soyons fixés sur les intentions des renforts annoncés; les ravitaillements de ce point de stationnement seraient facilement assu-rés par nos postes de Talzaza ou de Bel-Hadi. La région de Bou-Anane est d'ailleurs
dans la limite habituelle de notre zone d'action ».

JONNART.

N° 236. •

Le Général Picquart, Ministre de' la Guerre,

à M. le Général Bailloud, commandant le 19* Corps d'armée.

Paris, le 19 avril 1908.
J'approuve les propositions du Général Vigy pour achever la dispersion de la *

harka et châtier Moulay Lhassen,

G. PiCQUABT.


jeudi 3 décembre 2009

Le Combat de Beni-Ouzian et la prise de Bou-Denib

LE FIGARO
N°137 du 16 Mai 1908
AU MAROC
Le combat de Beni-Ouzian et la prise de Bou-Denib


NB : Moulay-Lhassen dans le texte est le Cheikh Moulay Ahmed Ben Mohamed ben Lhassan SBAI : مولاي أحمد بن محمد بن الحسن السبعي

Encore une sanglante, une douloureuse journée dont a été le théâtre cette vallée du Guir, où tient campagne depuis trois semaines le général Vigy : 13 morts, 65 blessés… Ces jours-ci, nous avions annoncé la formation de rassemblements hostiles aux environs de Bou-Denib, la marche offensive de nos troupes et laisse pressentir un engagement prochain.
L’engagement s’est mué en bataille, et certains, devant le chiffre élevé de nos pertes, ne manquèrent pas de (…) et de chercher partout des responsabilités.
Or, il faut le dire, le grand, le seul coupable : c’est le pays, le pays de la surprise.

La région qui s’étend au sud et au sud-ouest de la province d’Oran, vers le Maroc et le Sahara, est caractérisée par des plateaux immenses d’où surgissent quelques arêtes vives de rochers. Partout, c’est le sable ou le gravier, parfois les dunes aux replis mouvants. Rarement quelques palmiers, réunis autour d’une mare saumâtre ou d’une maigre source, luttent contre l’envahissement du désert et abritent à leur ombre, un peu de vie.

Mais les replis des dunes, les anfractuosités du roc calciné, les troncs des palmiers sont des abris sûrs pour les organisateurs d’embuscades. Contre la complicité du vent, du sable, les reconnaissances les mieux conduites ne parviennent pas à percer le mystère troublant du désert. On sent le danger à chaque pas, sans parvenir à découvrir la cachette où il se terre. Le silence est profond, troublé par rien ; vos yeux s’usent à vouloir percer le secret de la dune ; de la montagne ou de l’oasis et ils ne voient rien ; mais derrière la montagne, du sein de la dune ou des frondaisons de palmes, l’ennemi vous suit pas à pas et vous attend.

Depuis le jour où nous avons, pour la première fois, foulé le sud du désert, il en a toujours été de même ; et si, trop souvent, nous avons été victimes, la plupart du temps, les plus minutieuses précautions n’avaient pu nous sauvegarder.

Ces généralités sur l’aspect et la constitution du pays une fois connues, il reste à préciser la topographie du Guir, afin de faciliter la compréhension des dépêches qui vont suivre.

Le Guir est un fleuve à la fois marocain et saharien ; marocain, parce que, sorti des neiges du Grand-Atlas, sa vallée supérieure est fécondée de ses eaux; saharien, car, parvenu dans le désert, son lit se dessèche ou devient souterrain. On désigne sous le nom de bassin du Guir, une sorte de dépression formée par le Guir et ses affluents, où les plaines désertiques sont parsemées d’une assez grande quantité de palmeraies pour nourrir des peuplades demi nomades. Les palmeraies les plus fertiles, abritent, par conséquent, les ksours les plus peuplés, s’égrènent dans les vallées sablonneuses : ce sont Aïn-Chaïr, Bou-Anan et Bou-Denib. L’eau, dans ces oasis, se trouvant avec une abondance relative, attirent les caravanes et fait d’elles les étapes de la route qui mène de l’Oranie au Tafilelt, qu’il faut se garder de confondre avec le Guir, car si certaines tribus du Tafilelt sont propriétaires de palmeraies dans le Guir, à Bou-Denib notamment, il n’en est pas moins vrai que plus de cent kilomètres de désert pierreux ou hammada séparent les deux régions.

Le général Vigy était parvenu, le 10 mai, à Bou-Anan. Ayant accordé à ses troupes un jour de repos le 11 mai, il en repartait le 12 pour Bou-Denib où ses reconnaissances lui avaient signalé une formation nouvelle de la harka de Moulay-Lhassen. Fort sagement, il avait décidé de prendre l’offensive qui garantit mieux des surprises et avait cet autre avantage d’entraver le recrutement des indigènes en les déconcertant par une brusque attaque.

Or, le 13 mai, alors que le général songeait à livrer combat à l’ennemi dès le point du jour, il apprenait, en arrivant à un puits nommé Es-Saheli, que la harka loin d’être décontenancée par sa marche en avant, s’était elle-même portée à sa rencontre.

En effet, au moment où les têtes de colonne approchaient d’une petite palmeraie située à une dizaine de kilomètres de Bou-Denib, un feu violent dirigé avec précision accueillait nos troupes. Il était environ trois heures de l’après-midi, la chaleur était suffocante et les troupes étaient fatiguées d’une marche pénible.

Néanmoins, avec un sang froid, un entrain et un courage extraordinaires, tout le monde se prépara au combat. Les dispositions, prisent très rapidement, furent aussi rapidement exécutées.

Pendant que l’artillerie prenait position pour faire tomber une plate de fer sur la palmeraie où les Berabers abrités, pour le plus grand nombre combattant à pied, continuaient sur nous un feu trop précis, l’infanterie déployait ses lignes et s’avançait résolument.

En même temps, les Berabers harcelaient nos flancs avec leurs cavaliers, nos chasseurs d’Afrique et nos spahis recevaient l’ordre de charger.

L’acharnement des Marocains, malgré tous ces efforts fut tel qu’à la nuit close, décimés, en retraire, mais sans désarroi, ils combattaient encore.

Du moins obligés de quitter l’abri de la palmeraie, n’eurent-ils d’autre souci que de gagner Bou-Denib où la nuit et d’autres palmeraies, leur garantissaient une sécurité que le soin de nos morts et blessés et la nuit même ne pouvaient permettre de troubler.
Le général Vigy fit alors dresser le camp sur l’emplacement du combat, en avant toutefois de la palmeraie de Béni-Ouzien. La nuit se passe sans alerte.
Nous avons eu trois officiers et dix hommes tués ; soixante-cinq blessés, dont sept officiers, furent pansés de suite à l’ambulance et ont dû être, dès hier, acheminés sur Colomb-Béchar.
Les trois officiers tués seraient un capitaine de tirailleurs, un lieutenant de spahis et un lieutenant de chasseurs d’Afrique.

Avant-hier, 14 mai, le général Vigy a dû marcher sur le ksar de Bou-Denib où se trouve le gros de la harka. Il faut bien remarquer, en effet, que, suivant les télégrammes officiels nous n’aurions eu affaire le 13 qu’à une avant-garde de cette harka, à cinq ou six cents hommes tout au plus, sur deux mille à deux mille cinq cents guerriers qui se trouvent concentrés à Bou-Denib.
Le général Vigy télégraphie que l’ennemi a éprouvé des pertes considérables, qui n’ont pu être relevées à cause de l’heure tardive à laquelle le combat a pris fin.

Malgré ces pertes, il est à craindre, d’après le mordant des Berabers dans cette journée du 13, que la harka ne profite des abris que lui offrent les palmiers, les murs en tabia en pisé de Bou-Denib pour nous disputer le terrain.

Du moins pourrons-nous espérer qu’une fois à Bou-Denib les hostilités s’arrêteront, forcés que seront les débris de cette harka, pour pouvoir subsister, de gagner le Tafilelt et de mettre par conséquent, entre eux et nous, la barrière presque infranchissable en cette saison du hammada désolé et vide sur plus de cent kilomètres.

En attendant les détails circonstanciés qui ne tarderont guère à nous parvenir et permettront mieux de nous faire une idée de ce que fut la journée de Béni-Ouzian, il est une chose qu’il convient de souligner et qui ressort dès maintenant avec l’évidence la plus absolue des télégrammes du général Vigy : l’héroïque intrépidité de nos soldats.

Une fois de plus, la conduite des troupes est au-dessus de toute éloge.

Par Jean du Taillis